Le drame du Low-Coast, ou l'anti Commerce Equitable

Publié le par Pivot

Quitte à passer pour un empêcheur de se dégotter des vacances sympas à prix déjà plus négociable, la leçon d'aujourd'hui sera consacrée à la destruction du mythe des Low-Coast bienfaitrices.

Certes, elles permettent à un plus grand nombre d'accéder rapidement à des destinations plus ou moins de rêvs ("Londres, Venise, l'Egypte à moins de XXX € !" ). Deux bémols : le personnel est sur-exploité, qu'il soit européen ou tiers-mondisé, ce qui contribue à aggraver les inégalités sociales déjà trop fortes (toujours plus pour l'actionnariat, toujours moins pour les populations laborieuses ). Et puis qui dit moindres coûts dit augmentation significative du nombre de client, donc du nombre d'appareils affretés. Or la pollution aérienne est déjà l'une des plus grave et des plus importante de celles qui participent au réchauffement de la planète.

Même si la ville qui fait rêver ou le pays lointain peuvent attirer bien plus, la solution serait réellement de choisir un lieu de vacance pas trop éloigné (l'occasion de découvrir son terroir, par exemple), ou le voyage en train, le transport qui pollue le moins, exepté la marche à pied, la calèche et la péniche !

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