Brel est mort

« Le prophète est entré de par la porte claire. Les humains dépravés avaient perdus la foi. Au centre des Eglises sévissait la luxure, les lois n’existaient plus et l’on devenait fou. Le cri du sang partout illuminait les flammes, les démons de débauche...

Le coin de toile qui se lève, triangle de tissus sur la pyramide de la tente. Elle qui sort un bras, puis tout le corps, face à la mer. Elle s’extirpe. Elle se déploie, large éventail, les cheveux déroulés, comme un bras d’eau. Tout son corps tangue,...

Le temps passe, lent comme les nuages. Abandonnés sur le sable, la trace des doigts laissée, la journée déroulée comme le fil d’Ariane, et un soleil qui fuit de l’Est à l’Occident, les yeux juste plissés le temps de son passage au Zénith. Quelques pas...

Explorer une ville selon l'alphabet, se donner rendez-vous dans une ville sans préciser de détail et la parcourir jusqu'à ce qu'on se retrouve, et bien d'autres choses.

Juste un poème qui dit la honte et l'honneur.

Il y avait un silence, sépulcral Sur dix-huit mille hectares volés Aux peuples tupi-guaraní Sur dix mille familles quilombolas Expulsées de leurs territoires Sur des millions de litres d’herbicides Déversés sur les plantations Il y avait un silence confus...

Voilà, peu d'articles nouveaux sur ce blog ces temps-ci car l'équipe est assez prise par la mobilisation anti-libérealo-gouvernementale. De plus, nous sommes trop impliqués dans l'action pour avoir un regard un tant soit peu distancié sur le mouvement...

ATTENTION !!! BREL EST MORT FERME. LE NOUVEAU SITE DE TOUTE L'EQUIPE SERA DONC DESORMAIS : www.brel_est_récussité.be Le site doit fermer à la suite des pressions exercées par les renseignements généraux, infiltrés, semble-t-il, pas les Services Spéciaux...

Fortunes : 793 milliardaires dans le monde La planète compte aujourd'hui 793 milliardaires, un record, avec parmi eux de plus en plus d'Indiens, de Russes, de Brésiliens, de Moyen-Orientaux, et une proportion croissante de femmes, selon le classement...

Ce sont les faux beaux jours vite décapités Avec ma bouche nue qui tant aurait voulu Rassurer d’un vieux fruit l’idole vermoulue De mes yeux blancs crevés de vaines cécités Le printemps qui s’est tu à la saison nouvelle Perdu de son courage aux nerfs...